dimanche 26 octobre 2014

L'ORIENT INCOMPRIS








           Les aventures du Mulla Nasruddîn (un projet qui date de 20 ans, toujours en attente). Seul Claude Moliterni avait manifesté un intérêt sincère à l'idée de publier des contes arabes, mais l'occasion ne s'est  jamais présentée. Le responsable des éditions Dargaud, à l'époque, a considéré, quant à lui, que des contes de trois à quatre pages n'étaient pas "vendeur". Je pense que c'était une manière de dire que cela ne l'intéressait pas. Casterman, toujours à la même époque, manifesta aussi un certain intérêt pour les pages mais déclina l'idée de publier des contes pour me proposer une adaptation de l'un des romans de l'écrivain libanais Amin Malouf. Pour le coup, c'était moi qui n’étais pas intéressé car je désirais sortir de la "collaboration servile", c'est à dire exécuter en séquences plans et dialogues un scénario déjà complètement achevé.





Aquarelle sur encrage à la plume








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